Kostrovitski

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Harold Godwinson, roi d'Angleterre, ancien comte de Wessex, et trois de ses frères, Tostig (comte de Northumbria), Gyrth (comte d'East Anglia, Cambridgeshire et Oxfordshire) et Leofwine (comte de Kent, Essex, Middlesex, Hertford et Surrey ), tombèrent au combat (Stamford Bridge et Hastings (1066)) à quelques jours d'intervalle. Une célèbre querelle entre Harold et Tostig provoqua la fin de la domination saxonne et danoise en Angleterre. Leur sœur, Edith de Wessex (1025-1075), fut reine d'Angleterre par son mariage avec Édouard le Confesseur (règne 1042-1066). Leurs parents étaient Godwin, comte de Wessex (Gōdwine Wulfnothsson) et Gytha Thorkelsdóttir, sœur d'Ulf Jarl, jarl de Skåne et régent du Danemark. Ulf était le fils de Thorgil Sprakling (marié à Estrid Sveinsdóttir, sœur du roi Cnut le Grand, souverain de l'Angleterre, du Danemark et de la Norvège, dont la mère était une fille de Mieszko I de Pologne (dynastie Piast), qui a amené la Pologne au christianisme), le père du roi Sweyn II du Danemark et ancêtre de la maison d'Estridsen (dirigeants du Danemark de 1047 à 1412).

 

Leurs descendants trouvèrent refuge au Danemark, en Norvège, en Lituanie, en Russie (Kiev, Novgorod) et ailleurs en Europe. Gytha de Wesssex, fille d'Harold Godwinson, épousa Vladimir Monomakh, prince de Smolensk, vers c. 1074/5. Le fils aîné de Vladimir Monomakh et de Gytha de Wessex, Mstislav Ier de Kiev (1076-1132), apparu dans les sagas nordiques sous le nom de Harald, celui de son grand-père, régna à Novgorod de 1088 à 1093.

 

Dans les années qui suivirent l'invasion normande, de nombreux Anglais, hommes et femmes, trouvant la vie sous le joug normand intolérable, cherchèrent refuge en Europe de l'Est. Il a été rapporté qu'il y a eu un exode à bord d'une grande flotte de navires qui ont navigué vers Constantinople, où beaucoup sont restés au service de l'empereur romain de Byzance, Alexius I Comnène (1081-1118), et qu'un important contingent s'est vu accorder un territoire à travers la mer Noire, territoire qu'ils ont nommé Niwe Englaland (anglais saxon), avec des noms de lieux anglais [i].

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La famille Kostrovitski est une famille noble importante de Biélorussie et de Lituanie [ii], une famille de boyards ruthène (russe blanc) avec des branches utilisant différents emblèmes – Bajbuza, Kostrowiec, Prawdzic et Wąż (qui signifie « serpent » ; une wyverne, le symbole et l'étendard). de Wessex, vient du latin pour vipère, vipère ou aspic - voir aussi l'emblème du duché de Mazovie (sous la dynastie Piast), qui a ajouté une wyverne de cette période - attribué à Magnus Haroldson). Le nom antérieur de cette famille est Obakunovich (Rus. Обакунович). Voir la Chronique de Novgorod 1016 - 1471 pour les références aux membres de la famille Obakunovich, aux Posadniks (bourgeois - voir Bogdan Obakunovich et Fedosi Obakunovich), aux Tysyatski (des milliers d'hommes, commandants de l'armée, parfois traduits par dux bellorum ou herzog - voir Olexander Obakunovich), aux centurions. (capitaines) et Boyarin (voir aussi Iev et Vasili Obakunovich) de Novgorod, Seigneur Novgorod le Grand - la République de Novgorod (1136-1478) [iii].

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Obakun (ou Avvakun) signifie « Amoureux de Dieu » en vieux Rus. Obakunovich signifie fils d'Obakun. Godwin dérive de « Godwine », composé de deux éléments proto-germaniques : « gudą » (dieu, divinité, être divin) plus « winiz » (ami). Le nom polonicisé Kostrowicki (var. Kastravitski, Kastravitsky, Kostrovitski, Kostrovitsky, Кастравіцкі) signifie « de la Croix » et a été utilisé par Protas Kostrowicki (voir ci-dessous) et d'autres membres de la famille de la seconde moitié du XVIe siècle. La Croix peut être trouvée sur la monnaie anglo-saxonne et sur l'emblème de la Maison de Wessex depuis 838 après JC lorsque, lors d'un concile à Kingston (et de nouveau plus tard cette année-là), Ecgberht de Wessex confirma à l'Église certaines terres et privilèges en retour. pour son soutien continu. Le procès-verbal du Conseil de Kingston et une autre charte de cette année-là contiennent la même formulation : une condition de l'octroi est que « nous-mêmes et nos héritiers aurons toujours par la suite des amitiés fermes et inébranlables de la part de l'archevêque Ceolnoth et de sa congrégation à Christ ». Église". Voir Æthelred I (845/848 à 871), roi de Wessex (865-871), petit-fils d'Ecgberht de Wessex, ancêtre des Godwinson [iv].

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Le 8 mars 1561, le boyard Yakov Fedorovich Obakunovich Levtik, accompagné de son fils Protas Kostrowicki, Podstarosta de Mstislavl et courtisan, reçut du roi Zygmunt II August (roi de Pologne et grand-duc de Lituanie (GDL)) un privilège lui confirmant le village. de Steckovo (alias Kostrowicze) dans la province de Mstislavl, accordé pour la première fois par Kniaz Yurij Lukgvenovich Mstislavsky (alias Jurij Semionovich (Lengvenaitis)) (Prince de Novgorod (1432-1440) et Prince de Mstislavl (1431-1442, 1445-1460)) à son Trésorier d'argent (Podskarbi) Ivan, le grand-père de Yakov, dont le privilège a également été confirmé plus tard à Ivan par Kniaz Ivan Yurievich Mstislavsky [v]. Le fils de Yakov, Bohdan z Kostrowic Kostrowicki, était le père de Wasil Kostrowicki (marié à Regina Zambrzycka) qui devint secrétaire de Jan II Kazimierz Wasa, roi de Pologne et GDL (1648-1668). La fille de Wasil, Regina, a épousé Samuel Filipowicz (h. Prawdzic - un écusson utilisé par une branche de la famille Kostrowicki).

 

Grzegorz Kostrowicki, marié à Maryna Iwanowiczówna, fut élu maire de Vilnius à quatre reprises (en 1667, 1673, 1679 et 1685). Michał Kostrowicki (h. Baybuza), était également maire de Vilnius (et propriétaire du domaine Arnionys (Orniany), où en 1800 il commanda la construction d'un palais de style classique, d'une écurie et de dépendances). Romuald Kostrowicki z Kostrowicz (h. Bajbuza), propriétaire de Mały Możejków, fut maréchal de la noblesse du comté de Lida (de 1823 à 1846).

 

Samuel Kostrowicki (h. Bajbuza), président du PEN Club polonais (pour les écrivains et les poètes), est enterré au cimetière Hietzinger Friedhof à côté du château de Schönbrunn, à l'extérieur de Vienne [vi]. Sa fille Melania Kostrowicka (1813-1889) se trouve à proximité, dans la même parcelle de Kostrowicki que Fanny Elssler (Fanni Elßler) (1810-1884) [vii], la célèbre ballerine autrichienne de la période romantique, une amie proche. Le poète, ancêtre du surréalisme et critique d'art qui utilisait le pseudonyme de Guillaume Apollinaire - Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary Kostrowicki (1880 - 1918) - était le petit-fils de Mélanie et de Napoléon-François-Charles-Joseph Bonaparte, fils de Napoléon Ier et de Marie Louise Habsbourg [viii]. Jerzy Samuel Kostrowicki (1918-2002), né dans la propriété de son père à Kosceniew, près de Lida, et son frère Andrzej Samuel Kostrowicki (1921- 2007), tous deux professeurs respectés de géographie à l'Université de Varsovie, sont issus de cette lignée.

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La lignée Lew-Ostik Kostrowicki (crête à quatre quarts - Pogoń, Kostrowiec, Wąż et Trąby) (« Lew » signifie Lion), dont la maison du XVIIe siècle jusqu'en 1863 était à Navaselki (nouvelle colonie), près de Minsk, en Biélorussie, est celui de Grigori Ostik h. Trąby (vers 1535-1580), maréchal du Grand-Duché de Lituanie, dont la mère était la princesse Marina Mikhailovna Zaslavski - Mstislavski, une Gediminid. La famille Ostik (variantes : Ościk, Oścyk, Oścykowicz, Astikai) descend de Krystyn Ostik de Kernave (1363-1442/4) (ancienne capitale de la Lituanie et site du patrimoine mondial de l'UNESCO), Castellan de Vilnius (à partir de 1419) et ancêtre de les familles Ostik et Radziwiłł, par l'intermédiaire de deux de ses fils, Stanislovas / Stanko Ostikowicz et Radziwiłł Ostikowicz.

 

L'historien et généalogiste Dr Józef Puzyna (1878-1949) a enquêté sur une légende lituanienne selon laquelle cette famille descendrait patrilinéairement de Godwin Haroldson, fils aîné d'Harold Godwinson et de son épouse Edith la Belle (petite-fille du roi Ethelred le Non-Prêt (par sa fille Wulfhilda et Thorkell le Grand (Havi), nommés comte d'East Anglia et comte de Danemark par Cnut) nièce du roi Édouard le Confesseur et de la Dame de Walsingham (la lignée d'Alfred le Grand) [ix]). Puzyna a conclu que soit ce Godwin, soit un fils de ce Godwin a fondé une principauté, initialement connue sous le nom de duché d'Alsen, également connu sous le nom de Nalška ou Nalszczańska, avec sa capitale à Utena, dont la dynastie est devenue avec le temps celle des grands-ducs de Lituanie [x], dont les membres devinrent rois de Pologne, de Bohême et de Hongrie.

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Dorsprung (frère de Mendog, le seul roi de Lituanie), via Narimund (alias Sirputis, duc de Kernave et frère de Traidenis), a laissé une descendance dont sont issus les Ostiks et Ostikoviches de la crête Centaure-Hippocentaure (dont la crête Narimond s'est transformée en ' Pogon' / 'Pahonia', ordonnant à ses descendants de le porter sur leurs boucliers), étant, selon Kojalowicz-Wijuk T.J., héraut de la Lituanie du XVIIe siècle, la plus ancienne lignée familiale grand-ducale de Lituanie.

 

En 1436, GDL Sigismund Kestutaitis accorda un privilège sur Alanta, dans le comté d'Utena, à Ona, issue d'une famille princière/ducale samogitienne, épouse de Krystyn Ostik. Les Ostiks comptaient parmi les plus grands propriétaires fonciers du Grand-Duché de Lituanie.

 

Jerzy Grigorievich Ostik (décédé en 1546), maréchal de Lituanie a épousé la princesse Marina Mikhailovna Mstislavska Zaslavska (décédée en 1563) (sa sœur, Anastasia (décédée en 1580) avait épousé le frère de Jerzy, Grigory Grigorievich Ostik (décédé en 1557)), confirmant des liens forts entre ces familles et Mstislavl, la province lituanienne limitrophe de Novgorod. Ces sœurs descendaient du côté de leur père, le prince Mikhaïl Ivanovitch Zaslavski (Michailas Ivanovičius Zaslavskis) (1499-1534/6, fils du prince Ivan Yurievich Zaslavski, voïvode de Minsk et Vitebsk (1468-99)), de GDL Jaunutis (Jawnuta) , baptisé Ivan dans la foi orthodoxe, fils cadet et successeur choisi de GDL Gediminas. Maternellement, ils descendaient de Juliana, fille et héritière de Kniaz (prince) Ivan Yurievich Lukgvenovich Mstislavski (Rus. Мстиславский) (descendante de Lengvenis, fils de GDL Algirdas, un autre fils de Gediminas, et Juliana de Tver (fille du grand prince Alexandre ou Alexandre Mikhaïlovitch (Rus : Александр Михайлович Тверской) (1301-1339), prince de Tver sous le nom d'Alexandre Ier et grand prince de Vladimir-Souzdal sous le nom d'Alexandre II (Maison de Rurik) - lui et son père furent canonisés et comptés parmi les saints de l'Église orthodoxe russe). Comme dot et héritage de son épouse, Mikhaïl Zaslavski a reçu une partie du duché de Mstislavl et le droit de s'appeler Mstislavski (Rus. : Mstislavsky; Мстиславский) d'Alexandre Jagiellonczyk, GDL et roi de Pologne. Fedor Ivanovitch Mstislavski (d . 1622), qui déclina l'offre des Boyards de monter sur le trône de Russie, fut le chef des Sept Boyards qui gouvernèrent la Russie entre 1610 et 1612 et président du Zemsky Sobor (Parlement russe) en 1613. Il fut le dernier des Mstislavski /y lignée masculine, alors la lignée la plus ancienne des princes russes. L’ère Romanov a suivi.

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Suite à l'abandon des droits héréditaires de sa dynastie à la mort de Sigismond Auguste II en 1572 (qui avait provoqué après lui l'introduction d'une monarchie élective en Lituanie et en Pologne), les fils de Jerzy Grigorievich Ostik (ci-dessus), Jerzy Ostik (marié à Magdalena Bramowska, de Lomnice (Moravie)) et Grigori Ostik (1535-1580) (marié à Jadvyga Nosilovska, fille du voïvode de Vitebsk) soutinrent la candidature infructueuse de Fedor Ivanovic de Moscou à l'élection au trône polonais et au poste de GDL. Ce serait la perte de Grigori.

 

Jerzy Ostik, premier voïvode de Mstislavl (1566-1578) et voïvode de Smolensk (1578), mourut en 1579. En 1580, Grigori fut capturé par Gabriel Bekesz sur ordre de Stefan Bathory, élu roi de Pologne et GDL, torturé pour lui faire avouer et rapidement jugé par les officiers de Mikołaj Radziwiłł (qui avait soutenu l'élection de Stefan Bathory) et exécuté, privé de son droit à être jugé par ses pairs. La validité de cette procédure était discutable [xi]. Alanta, sa maison à Vilnius au 7 Didžioji gatvė (rue) et de nombreuses autres propriétés ont été confisquées. Alanta et cette maison ont été données à Bekesz puis vendues.

 

Jan, le fils de Grigori Ostik, fut emprisonné, libéré en 1581 et déclaré innocent. Il récupéra quelques propriétés familiales et devint juge foncier, magistrat à Vilnius et courtisan royal. Mikolaj Radziwiłł est mort en 1584. En 1585, Krzystof Mikolaj 'le coup de tonnerre' Radziwiłł), voïvode de Vilnius et grand hetman de Lituanie, prononçant un discours sur les différences entre les lois lituaniennes et polonaises au Sénat de la République polono-lituanienne, a parlé de la cas de Grigori Ostik et a déclaré que "nous avons été trop prompts à convenir qu'il devait être puni" [xii].

 

En 1586 (après la mort de Bathory), Jan Ostik tenta de récupérer ceux des domaines de son père qui ne lui avaient pas été restitués, mais sans succès [xiii]. Il épousa Zofia Jundziłł (h. Łabędź)) en 1594, qui se remaria après sa mort en 1609 [xiv]. Cette branche de la famille Ostik fut aidée par ses proches et ses partisans et prit le nom de Kostrowicki (h. Wąż).

 

Stefan (Lew-Ostik) Kostrowicki était trésorier de Rzezyce, héritier de Nowosiołki etc. (Novoselki, composé de Vialikija Navasiolki (Grand Novoselki) (où à partir des années 1830 se trouvait le palais/manoir de style classique dans un parc) et Malyja Navasiolki (Petit Novoselki, ou Vieux Novoselki), où se trouvait pendant des siècles un manoir traditionnel en bois (dvor), était la maison de la famille Lew-Ostik Kostrowicki du 17ème siècle), ainsi qu'à Stankow et Starzynki. Le petit-fils de Stefan, Ignacy, était adjudant du manoir royal (adjudant Dwor Krolewski) et général d'artillerie. Samuel (Lew-Ostik) Kostrowicki, était capitaine d'artillerie, capitaine de la garde d'honneur de l'empereur Napoléon Ier, président des tribunaux fonciers de Minsk et héritier de Novoselki, Jaroszowka près de Kojdanow dans le district de Minsk et de Jucki Uroczyska, Lisie Nory , Dubowka et Prymohilje, site des tombes familiales.

 

Karol (Lew-Ostik) Kostrowicki (1819-1874), Komisarz Skarbu i Aprowizacji (commissaire au Trésor et aux approvisionnements alimentaires) du district de Minsk, marié à Helena Świętorzecka (Sventarzhetska) (herbe/crête : Trąby) possédait Malyja Navaselki. Frère cadet de Kazimierz, qui avait vendu Vialikija Navasiolki (en 1860), Karol fut envoyé enchaîné en Sibérie, ses biens confisqués, après avoir participé, avec d'autres proches, au soulèvement de janvier 1863 contre la domination russe tsariste. L'épouse de Karol, sa fille Dorota et son fils Stanisław l'y suivirent plus tard et à Tobolsk trois autres enfants naquirent, les fils Kazimierz Rafał (1868) et Ambroży Samuel (1870) et la plus jeune fille Maria. Karol fut libéré en 1872 et mourut peu après son retour.

 

Kazimierz Rafał (Lew-Ostik) Kostrowicki est mieux connu sous le pseudonyme de Karuś Kahaniec (« La Lampe »), poète, dramaturge, linguiste, sculpteur et activiste national et culturel biélorusse (1868-1918) [xv]. Il a enduré une vie difficile, souffrant de problèmes de santé chroniques, sa colonne vertébrale étant blessée lors d'un accident d'enfance. Ses activités politiques signifiaient qu'il était difficile de trouver et de conserver un emploi, les employeurs désapprouvant ou craignant des représailles de la part des autorités. Il est devenu l'un des membres fondateurs du Mouvement de libération biélorusse (Hramada) et collaborateur de son journal « Naša Niva » (« Notre champ »), fondé en 1906 et rétabli en 1991. Il était également membre du Comité biélorusse en mars 1917 et l'un des organisateurs du Congrès pan-biélorusse tenu à Minsk en décembre 1917, travaillant en étroite collaboration avec son frère Ambroży. Il était marié à Anna (Halina) Konstantinowicz Prokopowicz (Prokopovich) de la province de Mogilev en 1899.

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Ambroży Samuel (Lew-Ostik) Kostrowicki (1870-1937), personnalité publique biélorusse, qui en 1917 était président du Congrès des organisations nationales biélorusses à Minsk, créé par le Comité national biélorusse, était docteur en médecine, à ce titre il a servi comme major de l'armée russe pendant la Première Guerre mondiale. Il était le frère cadet de Kazimierz-Rafał. Il épousa Maria Stefania Boguszewska, fille d'Albert Boguszewski d'Izabelow (près de Minsk) et d'Alexandra Ostrowska.

 

Il existe des descendants vivants de ces lignées et d'autres de cette famille historique aux multiples facettes.​

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Les références

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